Ciao.
LE TRIPORTEUR
Comédie de 1957
Réalisation et scénario de Jack PINOTEAU
D'après l'œuvre de René FALLET
Co-scénaristes Jacques VILFRID et Jean AUREL
Dialogues de Jacques VILFRID
Directeur de la photographie Pierre PETIT
Musique de Michel LEGRAND
avec
Darry Cowl
Pierre MONDY
Roger CAREL
Jean-Claude BRIALY
Mario DAVID
Grégoire ASLAN
Robert ARNOUX
Jean Ozenne
Pierre Doris
Alain Bouvette
Jess Hahn
Jacques Hilling
Jean-Pierre Lorrain
René Hell
Béatrice ALTARIBA
Christiane MULLER
Jacques THÉBAULT
Chantal Gozzi
Bob INGARAO
Michel Thomass
Miguel Gamy
Maurice Gardett
Simone Jarnac
Jacques Moreau
Armande Navarre
Christian NOHEL
Jean-Pierre Pascal
Lucie Thiebaut
Edmond Verva
Résumé
A Vauxbrelles, c'est l'allégresse : l'équipe de football locale s'est qualifiée pour la finale de la Coupe. Antoine Peyralout, le livreur du boulanger Mouillefarine, est si heureux qu'il en perd le contrôle de son triporteur et ravage la boutique de son patron. Congédié, Antoine est ravi : il pourra assister au match, à Nice, où il va se rendre au guidon de son tri. Le voyage est mouvementé.
C'est d'abord l'examen du " véhicule " par deux gendarmes à moto; Antoine reconnaît l'un d'eux, un criminel en fuite ! Tandis que les motards entament une course-poursuite, Antoine reprend la route. Il rencontre des paysans qui l'enivrent et l'obligent à débiter un énorme tas de bois. Maladroit, Antoine libère le bétail, met le feu au foin, sème le désordre et ne doit son salut qu'à la vélocité de ses jarrets sur les pédales... Une rencontre plus agréable : celle de Popeline, qui se baigne, nue, dans une rivière. Au premier regard, Antoine tombe amoureux : c'est Adam et Eve qui recommencent ! Pourtant, la jolie brunette préfère les hasards de l'auto-stop au transport d'Antoine, qui s'emploie à décourager les auto-stoppés d'embarquer sa dulcinée.
Mais voilà que s'arrête une voiture de sport, pilotée par Jean-Claude, qu'accompagnent deux copains et une blonde, Marceline : Popeline monte et le tri est pris en remorque jusqu'au camping. L'arrivée sera périlleuse pour Antoine et son engin.
L'un et l'autre remis d'aplomb, les jeux de l'amour reprennent. Jean-Claude a jeté son dévolu sur Popeline, Marceline sur Antoine. Celui-ci, au bal, fait monter sa cote en entraînant sa bienaimée dans des pasos, javas et autres rocks endiablés. A Nice, tous vont assister au match.
Drame au vestiaire. Dabeck, le gardien de but de Vauxbrelles, apprend qu'il est cocu ! Anéanti, il cède sa place à Antoine dopé qui stoppe acrobatiquement les tirs de " Boulet de canon ", l'avant-centre adverse, et marque lui-même le but de la victoire. Quel triomphe ! Sur la Promenade des Anglais, un triporteur s'est arrêté : deux amoureux s'embrassent... Deux motards se poursuivent...